Malgré
une activité en recul de 4,5 % cet été, le leader mondial de l’intérim
ne procédera pas à de nouvelles coupes dans ses effectifs. Pour le
moment en tous cas.
Dans
le ciel d’Adecco, il y a toujours de gros nuages. Après avoir vu son
chiffre d’affaires reculer de 4 % à données comparables au deuxième
trimestre, la dégringolade a continué cet été. Toujours à données
comparables, l’activité a reculé de 4,5 % en juillet et en août. En
France, la chute a même dépassé les 13 % dans la même période. «Depuis
la crise en 2008 et en 2009, toutes les sociétés se sont organisées pour
recruter au minimum. Elles ont moins besoin de travailleurs
temporaires», déplore Patrick de Maeseneire, directeur général de ce
groupe suisse qui était de passage à Paris cette semaine.
En fait, le leader mondial de l’intérim souffre car 70 % de son activité se situe en Europe, une région en pleine récession. Pour sortir la tête de l’eau, le grand concurrent de Manpower n’a pas hésité à couper dans les coûts. «Au printemps, nous avons supprimé en tout quelques centaines d’emplois en Espagne, en Italie, en Allemagne et au Benelux», explique Patrick de Maeseneire. Le groupe avait également annoncé en mars la suppression de 530 postes en France qui devait prendre la forme d’un plan de départs volontaires. Aujourd’hui, 84 personnes ont quitté l’entreprise et 210 personnes semblent intéressées par un départ. «Si nous n’arrivions pas à 530 départs volontaires, nous nous sommes engagés à ne pas procéder à des licenciements», affirme Alain Dehaze, président d’Adecco France. Parallèlement, le groupe qui s’était engagé à regrouper ces deux marques (Adiad et Adecco) sous une seule casquette (Adecco) avance sur le sujet. L’opération prendra effet début 2013.
Malgré le durcissement de la conjoncture, Adecco maintient que sa profitabilité atteindra les 4 %, le même niveau qu’en 2011. Et, pour le moment, le groupe n’estime pas nécessaire de tailler encore dans son personnel. «Mais si jamais la crise s’aggravait, nous pourrions éventuellement être contraints de procéder à des départs supplémentaires, reconnaît Patrick de Maeseneire. 70 % de nos coûts sont des coûts de personnel.»
Rien d'anormale dans le fait que 70% des coûts sont des coûts de personnel étant donné que le cœur de notre métier est du service.., mais en vue de l'article rien ne nous assure non plus que nous éviterons un énième plan !
Qu'en pensez-vous?
Source: lefigaro.fr
En fait, le leader mondial de l’intérim souffre car 70 % de son activité se situe en Europe, une région en pleine récession. Pour sortir la tête de l’eau, le grand concurrent de Manpower n’a pas hésité à couper dans les coûts. «Au printemps, nous avons supprimé en tout quelques centaines d’emplois en Espagne, en Italie, en Allemagne et au Benelux», explique Patrick de Maeseneire. Le groupe avait également annoncé en mars la suppression de 530 postes en France qui devait prendre la forme d’un plan de départs volontaires. Aujourd’hui, 84 personnes ont quitté l’entreprise et 210 personnes semblent intéressées par un départ. «Si nous n’arrivions pas à 530 départs volontaires, nous nous sommes engagés à ne pas procéder à des licenciements», affirme Alain Dehaze, président d’Adecco France. Parallèlement, le groupe qui s’était engagé à regrouper ces deux marques (Adiad et Adecco) sous une seule casquette (Adecco) avance sur le sujet. L’opération prendra effet début 2013.
Malgré le durcissement de la conjoncture, Adecco maintient que sa profitabilité atteindra les 4 %, le même niveau qu’en 2011. Et, pour le moment, le groupe n’estime pas nécessaire de tailler encore dans son personnel. «Mais si jamais la crise s’aggravait, nous pourrions éventuellement être contraints de procéder à des départs supplémentaires, reconnaît Patrick de Maeseneire. 70 % de nos coûts sont des coûts de personnel.»
Rien d'anormale dans le fait que 70% des coûts sont des coûts de personnel étant donné que le cœur de notre métier est du service.., mais en vue de l'article rien ne nous assure non plus que nous éviterons un énième plan !
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