Rappel:
Le titre-restaurant date d'une cinquantaine d’années en France pour permettre aux salariés de s’offrir un repas à midi, moyennant des avantages fiscaux pour les entreprises.
- Coexistence papier/numérique:
Le chéquier de titres-restaurant pourra être remplacé par
une carte à puce rechargeable.
Elle sera utilisable dans les
terminaux de paiement type carte bancaire.
Les entreprises devraient
laisser le choix du support à chaque salarié;en cas de coexistence avec
le papier.
La dépense quotidienne est toujours limitée à deux
tickets et est utilisable uniquement en semaine.
Adieu la monnaie : Le salarié sera facturé au centime près.
Le marché du titre-restaurant se chiffre à 5,1 milliards d’euros (705 millions de titres émis en 2011).
En 2013 quatre émetteurs se partageaient le marché :
- Edenred (Ticket Restaurant)
- Sodexo (Chèque Restaurant)
- Chèque Déjeuner
- Natixis (Chèque de Table)
- Moneo Resto (carte type bancaire)
- Resto Flash (smartphone)
- Fini les courses du Week end chez le petit boucher, ou boulanger qui accepte les TR (sans limitation de somme)
- Fini les restaurants du samedi soir entre amis.
- Fini les petits commerçants de proximités de restaurations non équipé de terminaux CB ne voulant pas payer un abonnement, purement, exorbitant ....aux banques.
Nous souhaitons le maintient de ce type de système tous simplement car il est fixe et encadré et permets d'éviter les primes paniers non fixes, de plus les permettant d'assoir un peu plus le discours du type nous avons trop de charge et donc ne pouvons pas cette année augmenter les salaires.
Ce système gagnant /gagnant doit le rester pour les salariés tout en permettant une réévaluation nécessaire en vue de ce pourquoi ils sont prévues.
A suivre donc mais gardons la version papier et sauvegardons des emplois arrêtons de tous dématérialiser.
c'est marrant comme certains syndicats sont prompts à allumer leur direction dès qu'elle s'écarte un chouia du code du travail, et en parallèle défendent les petits arrangements entre amis qui sortent complétement de tout cadre légal.
RépondreSupprimerUn poids deux mesures non?
De plus, la défense de ticket papier contre la dématérialisation me semble quelque peu désuète, voir rétrograde...
Bonjour El Caméléon - de quels arrangements faites vous l'éloge ?
RépondreSupprimernous sommes bien d'accord sur le fait que l’indépendance doit être la seule vision applicable pour la défense des droits des salariés.
Pour le sujet de ce post ce n'est pas la dématérialisation qui est par le fait un problème mais de toutes évidences ce qui constitue la fin de la souplesse et la perte des avantages liés à l'utilisation de ce système et du pourquoi il fut mis en place: voilà pourquoi nous concernant nous ne pouvons accepter une perte de souplesse et ce qui constitue un avantage indéniable à ce jour tant dans le mode d'utilisation que pour les aides accordées aux entreprises qui devrait en vue de ces aides par la même réévaluer la valeur pour suivre les évolutions des charges notamment dans ce cadre pour le panier repas de chacun qui chaque année augmente.