Vous croyez que cela fonctionne cette méthode ? 
                                                -  Ne pas oublier de déclarer ses impôts - 
Voilà ce que l'on peux lire dans les journaux suisse
Le groupe suisse Adecco se retrouve dans le collimateur du fisc français. 
A Pantin, près de Paris, les inspecteurs très aguerris de la 
Direction des vérifications nationales et internationales (DVNI) ont le 
nez dans les comptes de la multinationale. Ce qui chagrine les 
enquêteurs, c’est le montant des royalties versées par Adecco France à 
sa maison mère: celles-ci seraient bien trop élevées.
Ces versements étaient de près de 82 millions d’euros en 2012, de 
plus de 90 millions en 2011, de 82 millions en 2010… Sur le principe, le
 virement est légal, puisqu’il se fait au titre de la « redevance de 
marque »: en clair, la filiale française paie une sorte de prime pour 
pouvoir utiliser le nom et la notoriété d’Adecco. C’est à ce titre que 
depuis 2006, elle transfère entre 2% et 4% de son chiffre d’affaires 
annuel au siège suisse. Le problème, c’est que ce pourcentage serait 
surévalué. Pour augmenter les charges, diminuer artificiellement son 
bénéfice et, du même coup, ses impôts.
 ......
Ces types de montages, connus pour être utilisés notamment par 
Google, sont devenus une priorité pour le fisc français et pour la DVNI,
 qui analyse les comptes des 3500 plus grandes enseignes de l’hexagone. 
Son directeur, Olivier Sivieude, expliquait au Sénat en juillet 2013 
lors d’une audition officielle que « les entreprises déclarent des 
redevances parfois au delà de 10 % du chiffre d’affaires ». Mais au sein
 de ces montages, ajoutait-il, « il est difficile de prouver l’abus ».
En France, le code général des impôts ne prévoit pas de seuil maximal
 de royalties à payer par une filiale à son siège social. Selon certains
 experts, il préconiserait seulement un pourcentage de 0.82% du chiffre 
d’affaires. « Mais tout dépend de la notoriété de la marque et de la 
structure du groupe, relève Olivier Charpentier-Stoloff, avocat 
fiscaliste à Paris. En fait, l’évaluation se fait au cas par cas ». Et 
même quand l’abus est prouvé, que risque l’entreprise ? Rarement une 
condamnation pénale – souvent, l’affaire se négocie discrètement et se 
règle par une simple amende.
 En 2013, les dividendes versés aux actionnaires du groupe ont été augmentés de 11%.
Faut il encore oser demander ou est l'intéressement et le participation ? 
Faut il devenir actionnaire pour avoir droit a une reconnaissance ?  
Aurons nous le droit de récupérer notre intéressement ? 
Quelle conséquence a cette affaire  pour les salariés ?
source: http://mariemaurisse.net/
Pour lire l'intégralité de l'article: http://mariemaurisse.net/author/cyberjournalistes/

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