lundi 20 février 2012

REUNION DU COMITE D'ENTREPRISE

 Mardi 21/02/2012 aura lieu le comité d'entreprise Adecco Groupe France.


 Si vous avez des questions a poser n’hésitez pas à nous les porter  la réponse vous sera porter sur votre boite mail personnelle si vous nous communiquer celle-ci.

  Nous sommes toujours présent pour nos valeurs qui sont vos valeurs ne L'OUBLIEZ PAS !
                            N’hésitez pas à nous suivre sur :
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jeudi 16 février 2012

NAO 2012

  Suite à l'annonce effective de la prise de décision unilatérale d'appliquer l'ensemble des mesures  nettement insuffisantes en vue de la conjoncture et de la perte des avantages sociaux ces dernières années FO Adecco Groupe France souhaitait revenir sur ce sujet qui nous concerne tous et vous faire part des points remontés en séances pour les salariés de l'entreprise Cadre ou Non Cadre.


  •   Ce que nous aurons en 2012:
    •  Reconduite des 2 jours enfant malade
    • Augmentation Individuelle.
    • Applicable au 1er Avril 2012
    • ..
  • Ce que FO Adecco Groupe France a demandé.
  • Revalorisation des Tickets Restaurants.
  La valeur faciale de chaque TR à ce jour étant effectivement devenue insuffisante ; augmenter cette valeur à la hauteur de 8.50€ l'unité sans impacte sur la fiche de paie pour l'employé. Les deux autres syndicats représentatifs ne suivant pas cette proposition et souhaitant même voir supprimer cet avantage ; ce qui est pour FO Adecco Groupe France était alors du non sens ; ce mode d'avantage étant un gain non négligeable que ce soit pour le salarié mais également pour l'entreprise en vue des allègements de charges.
  FO proposa même de poser la question directement aux salariés puisque une divergence sur le sujet était perfectible.
  •   Favoriser les actions Collectives en ouvrant l'accord concernant la participation aux bénéfices de l'entreprise la revalorisation des salaires de base de 7.5% ne justifiant point la suppression de l'intéressement ;celui-ci qui est un fondement du collectif et des valeurs à défendre pour que l'équilibre Entreprise/ Salarié soit juste .
  •  Une augmentation des salaires en prenant en compte les critères d'anciennetés des salariés; en effet il n'est pas normale de voir s'afficher une non évolution des salaires de certains types d'emplois dans l'entreprise comme nous avons put le souligner à la lecture des chiffres transmis. En effet en exemple l'on peux voir un écart de 50 € entre un salarié qui a 10ans d'anciennetés et dont le type d'emploi est «comptable auxiliaire» avec un emploi« d'aide comptable » qui n'a que 4 ans d'ancienneté et qui est rémunéré de base à 1450€/Mois ; là ou le salaire minimum d'un emploi de «comptable auxiliaire» est de 1500€ /Mois prime comprise.
  • Cette disparité est malheureusement visible sur plusieurs type d'emplois.
  • Que pensez de cette disparité ? est-ce normale?   ne devrions-nous pas avoir une revalorisation supérieure du au fait de l'ancienneté dans l'entreprise ?
  •  Voilà pourquoi la justification de la hausse générale de 4% pour les niveaux 2 a 4 et de 2% pour les niveaux supérieurs est la mesure au minima qu'aurait du appliquer l'entreprise.
  • Augmentation minimum de 4% hors primes et 13 eme mois sur les salaires de bases pour les niveaux 2 a 4.
  • Augmentation de 2% pour les niveaux 5 à 7 avec effet rétroactif au 01/01/2012.
    Cette augmentation étant d'autant plus justifiable par la suppression de l'accord d'intéressement qui permettait au salarié d'investir dans l'entreprise avec dans ce cadre un abondement ou alors de récupérer celui-ci tout en sachant qu'il serait alors soumis à charge ; les chiffres du dernier des résultats du dernier trimestre pour notre entreprise étant de bons résultats. 
  • Toutes actions collectives devant être la base des négociations prioritaires pour FO
  • Revalorisation de l'ancienneté: Valorisation des « hommes » par la gestion des compétences et des évolutions internes.
  • Par la formation qualifiante des salariés.
  • Par une gestion et un suivit de chaque individu de l'entreprise.
  • Par un traitement sans discrimination (Idéologique ou Syndicale) de chaque individu.
  • Par une actualisation des postes a pourvoir et une démarche proactive
    (communication des postes disponible via les outils WEB, par les responsables de
    service en charge de la gestion de chaque équipe).
  • Prime de Transport: prise en charge par l'entreprise  70/40
  • Prime sur Objectif: mise en place d'une grille en y incluant une gestion de point par exemple
    pour permettre ainsi une équité de traitement sur les taches accomplis et pour chaque salarié.
  • Favoriser la mise en place du transfert des compétences.
  • Gestion plus équitable du mode d'attribution des places de stationnement (bon sens gestion par rapport à la distance lieu de travail/habitation).
  • Développent des actions de sensibilisations et d'aménagement des postes liés à l'intégration des salariés handicapés et ainsi éviter le paiement des taxes en cas de non respect.
  • Prendre en compte la santé des salariés au travail en mettant en place une commission composés d'acteur interne et externe à l'entreprise (CARSAT. Médecin du Travail ..) qui aurait pour rôle d'éviter et de traiter toutes situations ayant pour conséquence de mettre en positions difficile un  salarié (conditions liés au stress par exemple..).
  En 2011 nous souhaitions alors maintenir aux salariés un % d’intéressement minimum en plus des primes aujourd'hui nous souhaitons simplement pouvoir «intéresser» les salariés aux bénéfices de notre entreprise quand ceux ci sont présent; la revalorisation des salaires lié
a l’arrêt de l'accord d'intéressement puis la mise en place de l'accord se substituant a l'existant et ratifié par les syndicats représentatifs que sont la CFDT et la CFTC étant en l'état insatisfaisant pour notre fédération FORCE OUVRIERE.

 Voilà pour la liste des sujets abordés en séances et pour lesquels malheureusement nous n'avons put obtenir satisfactions.
  FO Adecco Groupe France restera fidèle à ces positions de partage et d'équités.
ET N'OUBLIEZ PAS Toutes actions et revalorisation collective devant être la base des négociations prioritaires pour FO 
             Que pensez-vous des propositions et de la prise de décision de l'entreprise ? 

 A VOUS DE VOUS EXPRIMEZ 

Froid et Travail

  Suite aux températures basses de ces derniers jours que certains salariés ont put malheureusement constatés et subir sur leur lieu de travail il est bon de rappeler quelques règles d'applications légales même si le bon sens doit rester de mise.


   De manière générale, l’employeur a une obligation générale de sécurité : il doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs, qu’elle soit physique ou mentale (article L.4121-1 du code du travail). 

  A ce titre, il doit mettre en place une organisation et des moyens adaptés.

  Le manquement à cette obligation de sécurité dite « de résultat » (obligation pour l’employeur d’atteindre un résultat : la sécurité de ses salariés sauf à s’exonérer de toute responsabilité en prouvant la survenance d’un cas de force majeure) a le caractère d’une faute inexcusable lorsque l’employeur avait ou aurait dû avoir conscience du danger auquel était exposé le salarié, et qu’il n’a pas pris les mesures nécessaires pour en préserver (Cass soc 11 avril 2002).

  Dans le cadre de la prévention de la pénibilité, la loi du 9 novembre 2010 (n°2010-1330) a modifié le code du travail . L’article L.4121-3-1 prévoit que « pour chaque travailleur exposé à un ou plusieurs facteurs de risques professionnels déterminés par décret et liés à (…) un environnement physique agressif (…), l'employeur consigne dans une fiche (…) les conditions de pénibilité auxquelles le travailleur est exposé, la période au cours de laquelle cette exposition est survenue ainsi que les mesures de prévention mises en œuvre par l'employeur pour faire disparaître ou réduire ces facteurs durant cette période ». 

  Parmi la liste des facteurs de risques mentionnés à l’article L.4121-3-1 figurent les températures extrêmes (D4121-5 2° c).

De même, dans l’évaluation des risques qu’il doit effectuer, l’employeur prend en considération les conditions de travail particulières comme les basses températures (R4444-5 ) et les consignés dans le document unique d’évaluation (R4461-3).
  • Quelles sont les dispositions prévues par le code du travail ?

  Le code du travail ne définit pas de seuil de température au-delà duquel un risque existe.
En revanche, plusieurs articles énoncent des règles en rapport avec la température :

- Les postes de travail extérieurs :  l’article R4225-1 du Code du travail précise qu’ils doivent être aménagés de telle sorte que les travailleurs  soient protégés contre les conditions atmosphériques ;
- Les équipements et locaux de travail : L’article R4213-7 précise qu’ils doivent être conçus « de manière à permettre l’adaptation de la température à l’organisme humain pendant le temps de travail, compte tenu des méthodes de travail et des contraintes physiques supportées par les travailleurs » ; de même pour les locaux annexes, notamment les locaux sanitaires, de restauration et médicaux (R4213-8) . 

- Les locaux fermés affectés au travail doivent être chauffés pendant la saison froide et le chauffage doit fonctionner de manière à maintenir une température convenable (R4223-13). 
L'employeur doit prendre, après avis du médecin du travail et du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail ou, à défaut, des délégués du personnel, toutes dispositions nécessaires pour assurer la protection des travailleurs contre le froid et les intempéries R4223-15).

- Lorsque des salariés sont hébergés sur leur lieu de travail, la température des locaux destinés à cet usage doit être de 18°C au moins (R4228-28).
  • Que peut faire le salarié si son employeur le contraint à travailler dans un froid trop extrême ?
  Il peut exercer son droit de retrait , tel qu'énoncé à l'article L4131-1 du code du travail qui permet à un travailleur de se retirer dès lors qu'une situation de travail présente un "danger grave et imminent pour sa vie ou santé". Il ne subit dès lors aucune retenue de salaire pour son absence.
  C'est ce qu'ont décidé de faire une quarantaine d'ouvriers d'un atelier PEUGEOT à SOCHAUX, après avoir constaté, alors qu'ils travaillaient de nuit, que la température était descendue en dessous de 10°C alors que la norme fixée par l'entreprise est de 15,5°C. 
  L'employeur a réagi en fournissant des chauffages d'appoint, des veste plus épaisses et en faisant venir des souffleries identiques à celles qui sont utilisées pour déneiger la pelouse du stade de football BONAL où s'entraîne le FC SOCHAUX-MONTBELIARD (écouter la chronique RTL sur cette info).
  • Sur la prévention des risques liés au froid, voir la fiche « travailler dans des ambiances froides » publiée par l’INRS (institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles).
  Donc vous l'aurez compris il s'agit de faire preuve de bon sens; cependant si les conditions et les moyens mis en place par l'entreprise sont insuffisants vous pouvez exercer un droit de retrait.

  Si vous souhaitez en savoir plus un dossier intéressant au format pdf destiné aux médecins du travail est disponible en téléchargement ici  

Source:
Nathalie LAILLER Avocat
Spécialiste en droit du travail -  (c] 2012 Juritravail.com

vendredi 3 février 2012

HAUSSE DE LA MUTUELLE ET PERTE DES PRESTATIONS

 Suite à l'annonce effective de notre Direction des Ressources Humaines ce jour concernant les nouvelles modalités d'applications de notre Mutuelle FO ADECCO GROUPE FRANCE à partir du 04/02/12 souhaitait apporter quelques précisions:

  Effectivement la hausse de 3,19% est nationale et DONC OBLIGATOIRE sur ce point nous ne pouvons qu'appliquer et se voir répercuter cette charge sur nos cotisations.

  Ce qui par contre est décevant à plusieurs titres par rapport à l'annonce faite:  c'est la perte de la couverture suite au déficit annoncé je cite notre RH:

" la situation déficitaire de notre régime, celle-ci est de l'ordre de 25% sur 2010, ainsi que sur le prévisionnel 2011. Ceci est dû à une très forte augmentation de notre consommation santé" 

 Comment peux t-on nous annoncer un déficit  alors que nous n'avons put obtenir malgré nos demandes le détail des "prestations et donc à la prise de décision qui en découle " 

 Effectivement nous avons qu'une hausse de quelques Euros pour la partie salariale, cependant c'est une fois de plus une hausse et cette fois accompagné d'une perte des prestations notable.

 Pourquoi ne pas avoir été alerté par notre Mutuelle avant cette situation provoquant ce déficit ? 
 telle est la question à se poser.

 Pour FO Adecco Groupe France;  il était nécessaire avant toutes prises de décisions d'avoir des chiffres et pouvoir négocier; hors nous n'avons put que constater l'immobilisme sur ce sujet des partenaires sociaux et n'avons une fois de plus malheureusement pas put rendre d'avis. 

 Que pensez-vous des nouvelles mesures appliquées ?  Encore une perte de nos prestations sociales..



jeudi 2 février 2012

Adecco approuve les CDI d'INTERIM

Premier réseau d’agences d’intérim en France, Adecco emploie près de 7000 collaborateurs dans l’hexagone pour 5,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Adecco est présent au Forum économique mondial de Davos en Suisse, qui s’achève ce dimanche.  

 

 Alain Dehaze, président du groupe Adecco France © Adecco
"Outre la crise financière, le chômage est au cœur de toutes les préoccupations à Davos, plus particulièrement celui des jeunes" affirme Alain Dehaze.
 Quant au marché de l’emploi en France, Adecco estime que le chômage va persister et que la situation ne va pas s'arranger avant le 3e trimestre.
 Au moins jusqu’à la mi 2012 en France, avec un premier trimestre très difficile. "Le marché, dans le travail temporaire était à -1% en novembre, -3% en décembre et il n'y a pas de raison que cela s'améliore durant le premier trimestre".
 Alain Dehaze plaide pour renforcer l’apprentissage et approuve les CDI d’intérim, une formule envisagée par le gouvernement "nous pourrions mettre 5 à 10 %de nos personnels d’intérim en CDI soit 10 .000 personnes" assure-t-il. Au total, estime Adecco,  60.000 personnes en France pourraient être embauchées sous ce type de contrat. 

Auteur: Julie Bloch-Lainé